Printemps
1. Les chancres
Il s’agit :
Du chancre bactérien (du à une bactérie du
genre Pseudomonas) et du chancre européen (du à un
champignon du genre Nectria galligena).
Pour le chancre européen, les spores peuvent germer toute
l’année, mais c’est surtout en hiver que le
champignon pénètre dans les tissus pénètre
par les feuilles (cicatrices des pétioles), les bourgeons
ou les rameaux. Aussi par les plaies de taille, les blessures des écorces.
Sa dissémination est favorisée par un temps humide
et vous pouvez rencontrer le problème en automne ou au printemps.
Votre
observation (Symptômes)
Pour le chancre bactérien : l’écorce de certaines
branches forme par endroits un replat ou une dépression.
Il s’en écoule souvent un liquide visqueux jaunâtre
ou « gomme ».
Le feuillage sèche prématurément.
Les branches atteintes peuvent être cerclées de ces
chancres gommeux et dépérir entièrement.
Pour le chancre européen (champignon) : L’écorce
se creuse en un endroit d’un rameau ou d’une branche,
souvent à proximité d’une plaie de taille ou
d’une blessure ancienne (branche cassée par exemple).
L’écorce se nécrose au centre et se boursoufle
sur les bords, formant un " creux" .
Le chancre gagne souvent toute la circonférence de la branche
et s’étale.
Les chancres apparaissent plus nettement après la chute
des feuilles, d’autant u’ils sont ponctués
en hiver de petites pustules rougeâtres.
Sans intervention, la partie supérieure de la branche dépérit.
Les
plantes concernées par le chancre bactérien :
Arbres fruitiers : cerisier, prunier, pommier surtout ; mais
aussi abricotier, pêcher
Les
plantes concernées par le chancre européen (champignon) : Arbustes fruitiers : surtout
pommier et poirier.
Les solutions - Que faire ?
La suppression des parties atteintes : commencer par tailler les
rameaux atteints en coupant au 5 cm sous le chancre. Brûlez
ces déchets de taille.
Curetage des grosses branches ou du tronc (qui n’est pas
encore cerclée par le chancre : curetez celle-ci, c’est-à-dire
grattez tous les tissus malades, nécrosés, sombres.
Enduisez ensuite d’une solution de cuivre puis de baume cicatrisant.
Prévention :
Choix
de variétés résistantes
Traitements bio pour le chancre
bactérien :
La bouillie bordelaise : bien que la bouillie bordelaise soit surtout
connue pour ses propriétés fongicides, elle est assez
efficace également pour protéger les arbres contre
les attaques bactériennes. Faite une première application
en début d’automne, puis juste après la chute
des feuilles et à nouveau au débourrement (sortie
des bourgeons).
Traitements bio pour le
chancre européen
(champignon)
Complétez la suppression des parties atteintes ou le curetage
par des pulvérisations de bouillie bordelaise (fongicide à base
de cuivre) à la chute des feuilles puis lorsque les bourgeons
gonflent au printemps.
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2. Chenilles
Il s’agit :
Les chenilles sont des larves de papillons (ordre des lépidoptères)
qui se nourrissent généralement de feuilles. Elles
sont parfois groupées en colonies dans un nid soyeux. D’autres
vivent dans le sol et consomment des racines, perforent les tiges
ou l’intérieur des feuilles comme les mineuses des
feuilles, ou encore dévorent les fruits.
Votre observation (Symptômes)
Au printemps ou en été, les feuilles sont perforées,
rongées. En examinant de près le feuillage, vous
découvrez des chenilles, parfois à l’intérieur
des feuilles enroulées.
Confusion : chez les
Prunus (Prunier, Cerisier, Abricotier), le feuillage ponctué de
petits trous entourés d’un
liseré brun peut être le fait non de chenilles mais
d’une maladie appelée criblure qui commence par de
petites taches décolorées qui se écrosent
et se trouent.
Les plantes concernées
Arbres fruitiers : TOUS
Prévention
Favoriser les prédateurs des chenilles au jardin, les oiseaux,
mésanges surtout.
Que faire ?
La collecte manuelle
L’insecticide spécifique des chenilles : Bactospéine, à base
de Bacillus Thuringiensis (bactérie naturelle qui s’attaque
aux chenilles). Sans danger pour les autres insectes, ce traitement
est donc à préférer aux insecticides à plus
large spectre. D’autant plus efficace qu’appliqué précocement.
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3. Chlorose
Origine :
De nombreux facteurs peuvent être en cause. La chlorose,
n’est pas une maladies, mais la conséquence d’une
carence. La chlorose la plus fréquente est due à une
carence en fer qui gène la synthèse de chlorophylle
(le pigment vert des feuilles), et explique dont que les feuilles
jaunissent. La présence de calcaire dans le sol bloque pour
certaines plantes l’assimilation de fer par les racines.
L’excès d’eau, des températures trop
basses, une maladie virale ou une intoxication aux désherbants
sont d’autres causes possibles. Votre observation (Symptômes)
Les feuilles de la plante jaunissent entre les nervures, mais celle-ci
restent bien vertes. En se dégradant, le chlorophylle
révèle d’autres pigments, habituellement
masqués par le vert. Des teintes rouges ou orangées
peuvent ainsi se développer sur certaines plantes.
Les arbres fruitiers concernées :
Abricotier, poirier
Que faire ?
Prenez les mesures adaptées au problème (carences
minérales, mauvaises conditions de culture).
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4. Cloque du pêcher
Origine :
Ah la fameuse cloque du pêcher, qui revient chaque
année ! Cette maladie touche également d’autres
végétaux comme l’amandier, le nectarinier,
le cerisier est due à un champignon du genre Taphrinia.
Il apparaît en général au tout début
de printemps, lorsque le temps est froid et humide et quand l’hiver
a été plutôt doux. Les spores du champignon
vecteur de la maladie sont soit déjà sur l’arbre,
où elles ont hiverné sous les écailles des
bourgeons, soit arrivées portées par le vent ou la
pluie. Les traitements d’automne ne suffisent donc pas pour éviter à 100%
les risques de contamination.
Votre observation (Symptômes)
Cette maladie est facile à reconnaître, car les feuilles
s’enroulent sur elles-mêmes en portant des cloques.
Elles changent également de couleur, de vertes devenant
jaunâtres puis rouge vif ou pourpres. L’arbre perd
tout son feuillage prématurément, tandis que ses
rameaux se déforment et que des écoulements de gomme
peuvent apparaître. Une seconde poussée de feuilles
peut ensuite avoir lieu, sans que celles-ci soient contaminées.
En général, la cloque n’affecte pas la vie
de l’arbre, sauf lorsqu’elle survient plusieurs années
de suite. Tout au plus la récolte est-elle moindre ou n’arrive
pas maturité lorsque l’attaque a été importante.
Les arbres fruitiers concernées : surtout le pêcher,
mais aussi l’amandier, le nectarinier, le cerisier
Que faire ?
Les moyens de lutte passent par la prévention mais n’excluent
pas les traitements lorsque les premiers symptômes apparaissent.
Prévention
Effectuez en automne ou au début de l’hiver un traitement
avec un produit cuprique (bouillie bordelaise).
Coupez les rameaux atteints et ramassez toutes les feuilles mortes.
Brûlez-les.
Inspectez très souvent votre arbre dès la fin de
l’hiver, lorsque les premiers bourgeons apparaissent, pour
agir rapidement.
Traitement bio
Apportez une bonne fumure organique pour que l’arbre soit
vigoureux et plus résistant.
Appliquez des pulvérisations de décoction de prêle
tous les 15 jours pendant la période de végétation.
Traitez avec un fongicide à base de cuivre dès le
gonflement des bourgeons.
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5.
Dégats des campagnols et mulots
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6. Fourmis <Révélateur
de pucerons>
Origine : Les fourmis rouges ou jaunâtres circulent le long
des tiges, c’est pour aller prélever le miellat sucré sécrété par
les pucerons, miellat dont elles sont friandes. Remarque : les
conséquences pour les arbres sont rarement graves.
Votre observation (Symptômes)
Des fourmis faisant des allers et retours incessants dans les arbres
fruitiers (cerisiers, pruniers, pommiers…). Si vous observez
de près le feuillage de ces plantes, il est envahi de
pucerons. Parfois, observez les fourmis qui chassent les coccinelles
qui tentent de s’approcher des pucerons.
Les arbres fruitiers concernées
Cerisier, prunier, pommier
Que faire ?
Dès la fin de l’hiver, entourez d’un collier
de glu le tronc des arbres fruitiers colonisés par les fourmis.
Elles seront arrêtées par la glu, et les pucerons
moins nombreux.
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7. Gelées tardives
Origine : Les gelées tardives ou des températures
frisant la gelée, à un moment où certaines
plantes sont déjà entrées en croissance.
Votre observation (Symptômes)
Au début du printemps, les fleurs ou boutons floraux des
arbres fruitiers brunissent puis flétrissent à la
suite de gelées nocturnes.
Les jeunes poussent entrées en croissance depuis peu brunissent
et sèchent.
Confusion : si ce type de symptôme se déclare sans
faire suite à une période de refroidissement nocturne,
il s’agit sans doute d’une maladie due à un
champignon pathogène responsable des monilioses.
Les arbres fruitiers concernées
Que faire
?
Prévention
Solutions Retour
8. Humidité excessive du sol
Origine :
Votre observation (Symptômes)
Les arbres fruitiers concernées
Que faire ?
Prévention
Solutions
Retour
9. Maladie de la replantation
Origine :
Il s’agit d’un problème mal identifié mais
lié à la replantation au même emplacement de
plantes sensibles. Le sol est sans doute porteur de champignon
ou de nématodes spécifiques et épuisé,
en même temps, en certains éléments nutritifs.
La conséquence : une croissance ralentie ou stoppée.
Remarque : s’il ne s’agit pas d’une replantation
de la même espèce, le problème est sans doute
lié à la plantation : type de sol ne convenant pas à la
plante, ou bien sècheresse des racines par manque d’arrosage.
Votre observation (Symptômes)
Le ou les arbres que vous avez plantés en hiver semblent
avoir du mal à « démarrer ».
La croissance est faible, voire nulle ; certaines tiges peuvent
noircir durant l’été.
Si vous dégagez partiellement les racines, elles apparaissent
ne pas avoir poussé ou évolué depuis la plantation.
Les arbres fruitiers concernées : tous les arbres fruitiers.
Prévention
Ne remplacez pas un cerisier par un autre planté exactement
au même emplacement ! Plantez les ailleurs, là où la
terre n’aura pas été épuisée
par cette même plante, ou contaminé par une problème
spécifique de cette espèce.
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10. Moniliose commune
Origine :
La moniliose est une maladie courante due à la présence
d’un champignon pathogène, favorisé lorsque
le printemps est humide. Les spores sont disséminés
par le vent et gagnent les fleurs. Cette maladie s’appelle également
Rot brun des arbres fruitiers, due à Monilia laxa. (Confusion
possible avec la moniliose non européenne due à Monilia
fructicola).
Remarque : cette maladie est aussi présente sur les fruits
en été. <Voir été> (Monilia fructigenia) Votre
observation (Symptômes)
Les bouquets floraux s’épanouissent puis sèchent
brutalement sur l’arbre ; ils demeurent sur les rameaux sans
tomber.
Les feuilles proches des bouquets floraux peuvent flétrir également.
C’est parfois le rameau entier qui est atteint par ce flétrissement
subit.
Le reste du feuillage a un aspect normal.
Les arbres fruitiers concernées :
cerisier,
prunier surtout ;
mais aussi cognassier, pommier et poirier, abricotier
et pêcher.
Que faire ?
Lutte culturale et biologique
Supprimer les bouquets floraux desséchés, les fruits
momifiés et les rameaux chancreux, source d’inoculum.
Badigeonner les grosses plaies avec du mastic arboricole.
Appliquer une bouillie bordelaise en fin d’hiver.
Les extraits de prêle (bio) semblent intéressants
pour prévenir la moniliose dès la floraison.
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11. Mouche de la cerise
Origine :
La mouche de la cerise est une petite mouche dont les adultes volent
en fin de printemps entre mi-mai et mi-juin, et pondent sur les
fruits qui terminent leur maturation. Les larves pénètrent
dans le fruit et s’y nourrissent, puis tombent au sol et
disparaissent jusqu’au printemps suivant. Les dégâts
sont limités aux fruits.
Votre observation (Symptômes)
Lors de la récolte des cerises, nombreux sont celles qui
sont véreuses.
Certaines cerises abritent un petit asticot blanchâtre.
La pulpe peut pourrir et la cerise tomber.
Les arbres fruitiers concernées : les cerisiers, certaines
variétés plus que d’autres. Les plus sensibles
sont celles à maturité tardive, en particulier les
bigarreaux blancs, notamment ‘Napoléon’, ou
encore ‘Cœur de Pigeon’.
Que faire ?
Prévention
Sélectionnez autant que possible des variétés
précoces qui sont moins sensibles, comme les ‘Burlat’,
vous éviterez le problème !
Solutions
Il n’existe pas de solution radicale pour éliminer
la mouche de la cerise.
Les traitements insecticides : la lutte contre les mouches à l’aide
de traitements insecticides, même biologiques, est à éviter.
Les mouches en effet ne sont présentent sur l’arbre
que durant quelques jours et il y a peu de chances que vous interveniez
au moment voulu. Le traitement des grands arbres est par ailleurs
très difficile, sans parler des résidus de produit
de traitement qui peuvent nuire à la qualité de la
récolte.
Les pièges englués : la seule solution pour limiter
la population de mouches consiste à poser des plaques jaunes
engluées dans l’arbre (trois pour un grand cerisier)
après la floraison, au début de la formation des
fruits. Un certain nombre de mouches seront ainsi piégées
avant d’avoir le temps de pondre.
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12. Oïdium sur pommier ou ‘blanc’
Origine :
L’oïdium ou blanc, que vous aurez très certainement
déjà rencontré au jardin, même si vous
ne connaissez pas son nom car c’est une maladie très
courante. Il n’existe pas une forme, mais des formes d’oïdium,
bien souvent le champignon qui est à l’origine de
la maladie étant spécifique de la plante hôte.
Il se développe autant par temps humide que par temps sec.
Les spores des champignons sont disséminés dans la
nature par le vent, la pluie, les éclaboussures, et le jardinier
qui ne prend pas soin de bien nettoyer et désinfecter son
outillage.
Votre observation (Symptômes)
Des points blancs commencent à apparaître sur le dessus
des feuilles et sur les boutons floraux, en général
aux extrémités des pousses. Ce feutrage gagne ensuite
le revers puis la totalité de la feuille, poursuivant sa
progression sur toute la plante. Le feuillage se déforme
et les boutons avortent. L’oïdium s’attaque également
aux fruits, qui cessent de se développer et se craquellent.
Un sol sec et un arrosage sur le feuillage favorisent le développement
des spores.
Les arbres fruitiers concernées :
pommier,
groseillier à maquereau,
vigne.
Que faire ?
De bonne pratique culturale permettent de limiter l’apparition
du champignon.
Prévention
- Eviter l’arrosage sur le dessus des plantes mais mouillez
de préférence au pied.
- Coupez les branches situées à l’intérieur
de la ramure ou celles qui sont en surnombre pour améliorer
la circulation de l’air.
- Supprimez les parties malades et ramassez les débris ou
les feuilles atteintes tombés et brûlez-les.
Solutions
- Effectuez des traitements avec une décoction de prêle
ou de purin d’ortie.
- L’extrait de racines de rumex est actif contre l’oïdium
qui attaque les fruits et les légumes.
- Pulvériser un fongicide à base de soufre.
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13. Phytope du groseiller
Origine :
Votre observation (Symptômes)
Les arbres fruitiers concernées
Que faire ?
Prévention
Solutions
Retour
14. Psylles du pommier et du poirier
Origine :
Les psylles sont de petits insectes suceurs de sève qui
ressemblent à des pucerons ou à de minuscules cigales
(3mm de long). Les larves comme les adultes se nourrissent sur
le feuillage et parfois les fleurs. Psylles du pommier (Psylla
mali) et psylles du poirier (Psylla piricula). Votre
observation (Symptômes)
Chez le poirier, le feuillage est collant, puis se couvre de fumagine,
comme lors d’une attaque de pucerons, mais les dégâts
sont ici provoqués par de petits insectes ailés
visible sur le feuillage. Les fleurs peuvent également être
atteintes.
Chez le pommier, fleurs et jeunes pousses sont attaquées
par une sorte de petit puceron et sa larve. Les fleurs attaquées
brunissent et sèchent.
Attention : le desséchement des bouquets floraux peut également être
dû à des gelées tardives <voir > ou à la
moniliose <voir >
Les arbres fruitiers concernées
poirier et pommier.
Que faire ?
Les attaques peuvent être très importantes et justifier
une intervention pour éviter que la fructification ne soit
réduite.
Un traitement hivernal détruit une grande partie des œufs
ou des insectes adultes.
Prévention
Supprimez les rameaux atteints et brûlez-les, car ils portent
encore des insectes adultes.
Traitement bio
- Traitez les arbres en hiver avec une huile spéciale
- Avant le débourrement des fleurs, pulvérisez un
insecticide à base de roténone ou de pyrèthre.
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15. Pucerons
Origine :
Voici l’ennemi numéro un du jardiner !
Partout présent, aussi bien dans la maison qu’à l’extérieur,
il se montre entreprenant envers presque toutes les plantes. Vert,
noir, jaune, mauve, cendré, farineux, lanigère. Il
en existe de toutes sortes. Piqueur et suceur, il s’installe
sur les plantes, et même les racines, et, de son rostre,
pique les tissus pour en extraire la sève. Rassasié,
il rejette un miellat qui tombe sur les feuilles ou les tiges situées
en dessous. Cette substance collante et visqueuse est un terrain
propice au développement de la fumagine, une champignon
noir plutôt inesthétique qui bloque les échanges
gazeux des plantes.
Votre observation (Symptômes)
Les arbres fruitiers concernées : Tous
Que faire ?
Veillez à avoir des plantes toujours en bonne santé,
elles résisteront mieux aux attaques des pucerons.
Prévention
- Fertilisez correctement votre verger pour obtenir des plants
vigoureuses.
- Tenir les fourmis éloignées.
Solutions
- Les coccinelles sont de précieux auxiliaires que vous
devez protéger et même implanter dans le jardin. On
en trouve facilement sous forme de larves à introduire parmi
les plantes du verger.
- Des infusions d’ail, d’oignon, de feuilles de rhubarbe,
des décoctions de tanaisie, des purins de rue, de fougère,
d’ortie, de sureau et de tomate sont d’excellents insecticides
naturels.
- Enfin, un nématode, l’Aphidend (Aphidoletes aphidimysa),
pond ses œufs orange dans les colonies de pucerons, ses larves
suçant ensuite les insectes pour les éliminer.
-Tous les insecticides naturels à base de roténone
ou de pyrèthre sont actifs contre les pucerons. Prudence
: ils détruisent au passage les auxiliaires comme les coccinelles.
- Acides gras organique, qui préservent les coccinelles.
Retour
16. Puceron lanigère Origine :
Votre observation (Symptômes)
Les arbres fruitiers concernées
Que faire ?
Prévention
Solutions
Retour
17. Tavelure sur pommier et sur poirier
Origine :
Votre observation (Symptômes)
Les arbres fruitiers concernées
Que faire ?
Prévention
Solutions
Retour
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